Bibliothèque de poésie :
Les Impardonnables
Une anthologie de ce « domaine français » cher à Valery Larbaud, publiée en réédition originale sous forme de beaux livres de poche, chacun sous étui :
dix-sept volumes annuels en quatre saisons.
Première année - 2017
Printemps
Léon Paul Fargue & Valery Larbaud ;
H.J.-M. Levet ; Francis Jammes ; Paul-Jean Toulet
Été
Je vous écris d’un pays lointain
Évariste de Parny ; Jean-Joseph Rabearivelo ;
René Ghil ; Arthur Cravan
Automne
René Chalupt ; André Salmon ;
Léon Bloy ; Laure
Hiver
Marceline Desbordes-Valmore ;
Robert Desnos ; René Daumal ;
Catherine Pozzi
et un dix-septième volume critique en compagnie
d’un écrivain contemporain.
Souscription ouverte en décembre 2016.
Vente en librairie à partir de février 2017.
Collection dirigée par
consacrée exclusivement au domaine poétique français, et par là unique en son genre dans le panorama éditorial actuel, Les Impardonnables (Cristina Campo nomme ainsi les poètes) se déclinera en quatre quatuors saisonniers, soit seize recueils annuels, chaque recueil sous étui imprimé, complétés par un dix-septième volume joint à la quatrième saison et offrant à l’ensemble un appareil critique accompagné, en écho à ces voix vives du passé, par les ponctuelles contributions de plusieurs auteurs contemporains . L’ensemble sera rassemblé au terme de chaque année dans un coffret. Les œuvres seront données en réédition originale, à savoir : séparément, sans voisiner avec aucune autre du même auteur, sans présentation, sans commentaire ni illustration. Notre ambition est de mettre au jour et de restaurer au fil du temps les rayonnages de cette Bibliothèque plus que millénaire et d’une extraordinaire valeur. Nous dessinerons ainsi les contours d’un « florilège national » que Valery Larbaud, voici près d’un siècle, appelait de ses vœux, en y incluant les poètes du monde entier ayant abondé, de quelque façon, ce « domaine français ». Soucieux de privilégier la perspective du temps, notre attention se tournera, quoique sans exclusive, vers des auteurs qui, tombés dans le domaine dit public, n’attendent bien souvent que d’y être élevés.